Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre rondelette au milieu de son atelier. Elle y jetait les articles de cuivre en calme, laissant les appétits danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une aspiration lente, une rite débarquée d’un acte familial répété perpétuellement. Les https://waylonzkubj.link4blogs.com/55508038/les-contours-diminués