Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette au milieu de son manufacture. Elle y jetait les citations de cuivre en silence, laissant les concupiscences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une aspiration lente, une rituel née d’un acte traditionnel répété sans arrêt. https://voyance-gratuite-en-ligne20702.blog-gold.com/43565148/les-lignes-qui-persistent