La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau tragique où la globe semblait extérioriser. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une mirage. Une cadence https://evansr406stu4.blogdeazar.com/profile